Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (32) : Philippe, Mon Mari, Mon Amant, Toujours Candauliste.

Dès son arrivée chez nous, Hassan avait fait comprendre à Philippe qu’il était désormais mon véritable homme et que notre mariage, dont j’avais depuis déjà un moment rompu le serment de fidélité (en accord et avec la volonté de Philippe) en m’offrant à un si grand nombre d’hommes, était désormais en sursis.
Le lendemain matin, profitant qu’Hassan, que j’avais épuisé en exigeant des assauts une bonne partie de la nuit, dormait profondément, je suis allé à la chambre d’amis où dormait Philippe.
J’avais été malheureuse la veille de son humiliation. Et je voulais me faire pardonner. Oui j’étais prête à céder à Hassan pour le divorce, mais non je n’étais pas prête à renoncer à Philippe. Je l’aimais toujours. J’étais amoureuse de deux hommes à la fois, en même temps, de manière différente, mais avec la même force. Pourquoi fallait-il qu’Hassan exige d’avoir le monopole sur moi ?

PHILIPPE, MON MARI DEVENU MON AMANT

Depuis que j’étais la femme de Philippe, je l’avais toujours gratifié d’une fellation le matin. C’était un rite entre nous et même lorsque j’étais sous la coupe de Rachid, je n’y ai pas dérogé. Je me rends donc sans faire de bruit dans la chambre d’amis, où Philippe s’est réfugié.
Philippe est allongé. Comme nous le faisons souvent, il fait semblant de dormir profondément. Je sais que je l’ai fait beaucoup souffrir la veille. Je sais qu’il n’a pas ou peu dormi, je sais, même si un homme ne l’avoue pas, qu’il a pleuré. Je m’en veux parce que je lui ai fait du mal, je veux me faire pardonner, lui faire comprendre que rien ne doit changer entre nous, que je l’aime toujours.
Il a beau faire semblant de dormir, je sais bien qu’il sent ma présence. Je ne me suis pas lavée avant de le rejoindre. Etant nue, il ne peut pas ne pas sentir, lui qui est si sensible aux odeurs, que je porte sur moi une forte odeur de femelle qui a copulé une bonne partie de la nuit, qui a la semence de son mâle, mais aussi beaucoup de sperme séché sur mes seins, mon visage, mon corps.


Je veux Philippe, comme hier soir je voulais Hassan. Je me glisse dans son lit, contre lui. Je lui offre mes lèvres et l’embrasse fougueusement.
• Oui mon chéri, embrasse ton épouse adultère. Tu as voulu que je sois ainsi, maintenant c’est trop tard pour changer.
• Oh mon Olga, je t’aime. J’ai entendu tes cris de plaisir une bonne partie de la nuit.
• Oui Philippe, il est insatiable et moi aussi. Il m’a peut-être déjà fécondée tu sais. Je suis pleine de lui. Approche de ma chatte, elle sent la femelle, la putain.
• Tu me rends fou, tu sais !
• Je m’en rends compte, mon amour !

Je regarde la bosse qui se prononce au niveau de son entrecuisse. Il bande comme un salaud ! Je la touche légèrement de ma main. Hum... comme c'est dur ! Mon Dieu ! Comme cette bandaison est prometteuse ! Alors, là, je n'hésite pas. Je la pelote copieusement de toute ma main, de ma paume et de mes cinq doigts. Sa bite, sous l'étoffe de son pantalon de pyjama, est dure comme de la pierre. Je la caresse de plus en plus avec instance. J'en suis toute excitée ; et lui aussi, bien sûr. Il est maintenant dans tous ses états. Chaud comme de la braise. Il est en surchauffe. On dirait qu'il va exploser. Il faut faire quelque chose ! Alors, tout doucement, je baisse son pantalon de pyjama. D'un geste, je libère sa queue. Comme un diable sortant de sa boîte, elle me saute à la figure. Quelle queue ! Enorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s'en échappent. Quelle merveille ! Je n'y résiste pas. Maintenant, je la goûte par petites touches de ma langue gourmande. Hum... comme c'est bon ! C'est salé ! C'est du miel chaud qui coule dans ma bouche. Sa queue est nourrissante. Elle m'excite à outrance. Je sens tout mon corps s'embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son petit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Passons aux choses sérieuses. J'engouffre sa queue en m'écartelant la bouche.
Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n'en avale que la moitié.
Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue. Ben mon coquin ! Je sais combien il aime ça.
Puis, je lui prends la queue d'une main, et de l'autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l'avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l'extrême qui s'offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main, attisent tous mes sens. Le fait que je trompe Hassan avec Philippe, le risque qu’il se réveille et nous surprenne. Tout cela fait que je mouille. Je suis trempée. J'ai envie de me toucher la chatte mais, je suis toute à cette queue. Alors, je me mets à le branler doucement. Il coule encore. Je le lèche avec application. Sa mouille est bonne ; elle est onctueuse et salée. J'aimerais qu'il me gicle dans la bouche. Comme ça ! Tout prendre de lui. Cette idée me submerge et déchaîne ma passion. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m'enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J'en bave ; et plus bas, j'en mouille de plus bel. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l'enfonce jusqu'à l'. Elle m'excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas.
Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C'est ça que je veux, je veux le boire. Alors, je prends mes deux mains ; l'une branlant sur toute la longueur de la bite, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m'active avec détermination et application.
Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste pas.
Il lâche un long cri sonore que j’étouffe en lui mettant la main sur la bouche pour qu’il ne réveille pas Hassan. Philippe décharge dans ma bouche. Une giclée d'une pression inouïe m'inonde l'arrière gorge. Je tousse. Je pleure ; mais de joie. Animé de spasmes, il n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle et m'enflamme. Il faut que j'avale tout de lui. J’aime toujours Philippe et je veux tout de lui. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Il me brûle.
• Hum... comme tu es bon mon amour !

Philippe me tend les lèvres et nous échangeons un long baiser amoureux.

• Ainsi tu m’aimes encore mon Olga ?
• Bien sûr, tu le sais bien, idiot et je t’aimerais toute ma vie. Tu es à moi, seulement à moi. Jamais je ne renoncerai à toi.
• Que va-t-on faire ?
• Quel dommage qu’Hassan ne veuille pas comprendre que je vous aime tous les deux, différemment, mais intensément. Eh bien, sans qu’il le sache, tu seras mon amant. Je ne peux me passer de te pomper, tu sais tout le plaisir que j’ai à te sucer, à avaler ton foutre. Mais aussi je ne veux pas renoncer à tous nos autres jeux érotiques.
• Tu es donc une femme adultère et je suis ton amant.
• Aujourd’hui tu es mon mari. Mais en fait il est devenu mon mari et tu es mon amant.
• Ça me rend fou de vous entendre et de ne pas pouvoir être près de toi, vous mater, l’encourager à te baiser plus fort, te couvrir de baisers, de caresses, gicler dans ta bouche ou sur toi pendant qu’il se vide dans ta chatte.
• Moi aussi, ça me manque, Philippe. Tu sais bien que ma jouissance est décuplée quand tu es près de moi.
Je vais m’arranger pour que tu puisses assister discrètement. C’est tout ce que je peux faire pour l’instant.
• Je t’aime.
• Moi aussi. Embrasse-moi, je vais le rejoindre, il ne faut pas qu’il nous surprenne.

PHILIPPE LE VOYEUR

Je tins parole le jour même. Je savais à quel moment Philippe devait rentrer du travail.
Philippe entrouvrit la porte pour observer ce qu’il se passait. Le couloir vide, il continuait sa progression jusqu’au salon.
Hassan et moi nous étions bien en train de nous embrasser langoureusement sur le canapé. Il avait les mains sur mes seins, je commençais à gémir.
Les mains d’Hassan avaient déjà relevé ma minijupe, un doigt glissait dans ma chatte. Je n’avais pas mis de string.
Hassan se releva et se mit dans le fauteuil qui me faisait face.

• Alors ma petite pute, tu me fais un strip-tease ?

Je mis un CD et commença à me trémousser sensuellement. Philippe m’a dit ensuite que j’étais à la fois vulgaire et très belle. Je remontais ma jupe et prenais des poses obscènes, je dévoilais ma chatte et mon petit anus. Tantôt j’étais à genoux sur le canapé et écartais les fesses, tantôt je me plaçais juste devant Hassan et glissait deux doigts dans mon vagin. Je jetais parfois vers Philippe de petits coups d’œil discrets.
• Suce-moi bien la queue !

Je me penchais et la pièce s’emplit des bruits de succions et des gémissements de plaisir d’Hassan.
• Mets-toi debout, je vais te déshabiller.

Je le dirigeais pour le mettre de profil par rapport à Philippe. Je lui retirais sa chemise et lui fit retirer son pantalon qui était déjà à ses pieds.
Je faisais ça pour que Philippe me voie sucer mon homme. Je m’agenouillais devant Hassan et lui lapa le gland. Je parcourus de mes lèvres humides la grosse verge. Je gobais l’une après l’autre les grosses couilles poilues d’Hassan. Je remontais et l’embouchais. J’aspirais, je creusais les joues, je pompais en exagérant les bruits de succions. Je la rentrais le plus loin possible dans ma gorge, j’en avais des haut-le-cœur. Je me donnais comme jamais. J’en rajoutais à l’intention de Philippe, je savais quel effet cela avait sur lui.
• J’ai envie de te baiser maintenant.
• Juste ma chatte ou la totale ?
• T’es vraiment la reine des vicieuses. Tu es superbe !

Je me mis à genoux sur le canapé, j’écartais les fesses. Hassan se posta derrière moi et glissa d’une seule poussée son énorme sexe dans ma chatte. Je criais de plaisir, j’eus un orgasme pratiquement tout de suite. Il me pilonnait violemment et me martyrisant les pointes des seins. Ses grosses couilles frappaient mon clito. J’étais comme une poupée désarticulée tellement il me bourrait fort. Il était endurant et j’eus encore 2 ou 3 orgasmes. Je hurlais ma jouissance, je savais qu’un autre homme, mon mari, se branlait comme un dingue en nous matant discrètement. Soudain, Hassan se retira de ma chatte et me dit :
• Maintenant, je vais compléter la totale.
Hassan flatta d’une main le creux de mes reins, descendant quelquefois jusqu’à la fossette adorable qui marquait la naissance de ma raie. Il se mit à caresser mes jolies fesses rondes et fermes. Il effleura du doigt le petit trou serré aux bords plissés. Il commença à masser doucement de son index les abords immédiats de l’anus, y faisant pénétrer progressivement son doigt. Je me mis à gémir doucement puis de plus en plus fort. Il était en moi désormais jusqu’à la deuxième phalange. L’anneau musclé le serrait gentiment comme s’il ne voulait jamais le laisser partir. Il poussa alors son index jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans la grotte brûlante.
• C’est bon ton doigt là … Que c’est bon…

Je me tortillais légèrement avec des mouvements de reptile. Il commença alors à retirer tranquillement son doigt, et arrivé à la première phalange, le renfonça sans brusquerie, s’attachant à rendre la pénétration harmonieuse en suivant la courbe intérieure du rectum. Il refit ce geste plusieurs fois et peu à peu, le sphincter se relâcha autour de son doigt.

Encouragé par mes gémissements de plus en plus prononcés, Hassan était décidé à prendre son temps. Je soulevais mon cul à la rencontre de son doigt, impatient que sa queue m’encule jusqu’au fond de mes entrailles.
Il lubrifiait mon cul par quelques coups de langue ou en recueillant la liqueur gluante secrétée par les muqueuses vaginales. Je râlais râlait de plaisir, agitée par une sorte de spasme ressemblant à un orgasme passager.
Il positionna enfin son gland sur ma pastille. Il cramponna mes hanches et commença à pousser, tandis qu’avec sa main droite, il s’évertuait à me caresser le clitoris.
J’étais à genoux sur le canapé, le visage et les épaules sur le haut du dossier. De mes mains, j’écartais les fesses. Hassan avait le nez fourré entre mes fesses. Je gémissais déjà, impatiente de me faire casser le cul. Je tournais la tête et regardais dans la direction de Philippe. Mon visage transpirait l’extase.
Hassan m’avait préparé longuement. Il me releva, écarta mes jambes pour mettre son gros sexe à la hauteur de mon anus.

Il avança encore. Après quelques secondes d’immobilisation, il repartit en arrière et commença une lent va et vient.
• Caresse-toi la chatte en même temps. Tu prendras plus de plaisir.
• Je ne me suis jamais sentie aussi remplie de ma vie.
• Et encore tu n’as que la moitié en toi.
• Mets-moi tout maintenant.

Il poussa alors son membre entièrement dans mon cul. Il s’immobilisa encore quelques secondes et reprit les allers-retours. Je me caressais le clito. Philippe bandait comme jamais. Il se branlait en regardant sa femme se faire enculer.
Hassan accélérait progressivement la cadence. Il me pilonnait maintenant dans un rythme élevé. Je jouissais intensément. Hassan me lima un bon moment, parfois il sortait son sexe puis il me pénétrait de nouveau. J’eus un orgasme puissant, mais lui continuait de m’éclater l’arrière train.
• Viens ! Jouis maintenant !
• Pas encore, je veux profiter de ton trou du cul.
• Je n’en peux plus.

Hassan m’attrapa les cheveux et tira fort dessus, me forçant ainsi à me cambrer encore plus. Il accéléra encore dans des mouvements désordonnés et poussa un puissant cri de jouissance lorsqu’il vida ses grosses couilles dans mon cul dilaté. Nous restâmes soudés comme ça de longues minutes. Puis doucement il se retira. Du sperme s’échappa de mon trou du cul béant.

Philippe fit alors qu’on entende la porte d’entrée claquer. Nous n’eûmes que le temps de mettre un peignoir, nos vêtements étaient au sol, le sperme abondant d’Hassan coulait de nos jambes.
• Oh pardon, je vous dérange.
• Tu es toujours chez toi, dit Hassan d’un air renfrogné.
• Oui, mais je ne veux pas porter atteinte à votre intimité. Olga est ta femme désormais. Tu as le droit de lui faire l’amour où tu veux dans cette maison et quand tu veux. La seule chose qui compte est qu’elle soit heureuse et que tu lui donnes beaucoup de plaisir.
• Je compte bien la rendre heureuse. Il faudra cependant que nous parlions sérieusement du divorce.
• Chéri, je te l’ai déjà dit, je ne suis pas pressée, je suis bien comme ça, avec toi dans mon lit et Philippe dans la maison. Tu sais les sentiments que j’ai toujours pour Philippe et je te rappelle qu’il est le père de Lucie.
• Tu sais bien que…
• Je te dis qu’il est le père de ma fille et ma fille devra être élevée avec son père à proximité.

Le soir même, Philippe avait entendu les sons, il savait que je suçais Hassan.

Il entrouvre discrètement la porte de la chambre et voit la bite énorme de mon nouveau mâle remplir ma bouche. J’ai la mâchoire grande ouverte et mes deux mains tiennent la base de sa queue. Hassan n’a rien remarqué, moi si. Je suis heureuse que Philippe puisse nous voir, je veux lui offrir mon plaisir.

Hassan me porta comme une plume et me déposa sur le lit, la porte de la chambre grande ouverte. Il me pose sur le rebord du lit, et me met deux doigts dans la chatte et me lèche le clitoris en même temps. Je gémis comme jamais, je crie, je couine. Il me fait me lever, et enlève ma robe par le devant.
• Tu vas me baiser maintenant?
• oh oui !

Hassan présente alors à ce moment son énorme gland à l’entrée de ma chatte, il me pénètre doucement mais surement. Il entre de plus en plus en moi, je cherche mon souffle et je crie déjà. Puis, une fois bien au fond de ma chatte, il me pilonne comme un fou, m’arrachant des cris de plaisir.
• Défonce moi Hassan, je suis ta pute, baise moi comme une chienne.

Il me retourne, et me prends en levrette sur le lit.
• Met toi sur le dos, je veux m’empaler sur ta queue.

Je voulais surtout pouvoir regarder Philippe pendant qu’Hassan me baisait. Cette complicité avec mon mari candauliste me manquait. La présence discrète de Philippe décuplait mon plaisir.
La lumière en contrejour lui laisse apercevoir les ombres formées par notre couple. Il peut ainsi encore mieux se rendre compte de la grosseur du sexe qui me pilonne. Je me déchaine, fais des va et vient avec mon bassin.
• Encore, encore, j’y suis presque.

Pour me terminer, Hassan décide de me soulever et met mes deux mains sur les murs. Il me prend alors par derrière et me pénètre fortement. Je n’en peux plus et jouis de toutes ses forces.
• Vas-y éjacule moi sur le visage, gicle moi dessus.

Hassan se retire, je me mets à genoux devant lui et il vide son énorme bite sur mon visage, dans la bouche et mes cheveux. Le sperme dégouline de mon visage pour tomber sur le sol. Après quelques minutes de récupération, Hassan, insatiable remet ça.

Il profite du moment où j’ouvre la bouche pour enfoncer sa bite dedans. Je me donne à fond. Je me touche la chatte toute humide d’excitation.
Hassan me fait monter sur la lit et se place en dessous de moi en 69.Il commence à me bouffer la chatte tout en continuant de se faire sucer.
• Baise-moi encore ! dis-je en me mettant sur le dos.
Il place alors son énorme sexe à l’entrée de ma chatte et rentre juste le gland.
• Mmh,oui vas y continue

Il s’enfonce alors de plus en plus en elle en position du missionnaire puis ressort, J’att alors ses fesses musclées et le tire vers moi tout en avançant son bassin, je suis vraiment excitée, je sais que Philippe en profite pleinement.
• Je vais à nouveau me vider en toi.
• Oui, féconde-moi !
• Tu es jeune, je t’en ferai beaucoup. Tu es faite pour la maternité.
• Je t’aime !
• Tu es d’accord pour divorcer ? Tu sais que je ne veux pas te partager.
• Oui, je suis d’accord mon amour. C’est toi que j’aime.
• Tu veux bien m’épouser ?
• Oui, je porterai ton nom. Je serai Madame Hassan Z.
• Et plus Mme Philippe T.
• Non !!!! Arrêtes de parler et baises-moi !

Hassan rentre alors à nouveau en moi, il commence à me pilonner doucement puis de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il se vide en moi.
Oh comme j’aurais aimé que Philippe soit près de nous, matant assis sur son fauteuil, ou encore s’approchant pour m’embrasser, pour me caresser, pour encourager le mâle à me baiser sans ménagement. Comme j’aurais aimé qu’il vienne ensuite soigneusement nettoyer ma chatte pleine du sperme de mon mâle.
Le refus par Hassan du candaulisme me frustrait terriblement, même s’il m’apportait un plaisir inouï. Je savais pourtant que les paroles que j’avais prononcées sous l’emprise d’Hassan devaient lui avoir fait un mal infini. J’étais bien décidée à me rendre le lendemain dans le lit de Philippe pour lui dire qu’il n’en n’était rien et que je l’aimais toujours. J’étais décidée à poursuivre ce jeu dangereux et à réussir le pari impossible du double jeu, je voulais garder mes deux hommes, mari, amant, ils étaient à la fois l’un et l’autre.

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